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grand remplacement - Page 2

  • La popularité du président tunisien, Kais Saied, a doublé après qu’il a parlé du Grand Remplacement

    Publié par Guy de Laferrière le 02 septembre 2023

    Le discours du président était une pure invention. Il n’y a pas de complot pour changer la démographie de la Tunisie. Les Africains noirs ne représentent qu’une infime partie de la population et ne sont pour la plupart que de passage. S’ils s’attardent, c’est tout simplement parce qu’ils économisent en vue de la périlleuse traversée de la Méditerranée.

    Avant le discours, M. Saied était impopulaire, en raison d’une économie désastreuse. Après le discours, il semble avoir gagné plus de soutien. Les sondages ne sont pas fiables, mais l’un d’entre eux, réalisé en novembre, lui accordait moins de 30 % de soutien ; un autre, réalisé en juin, indiquait que 69 % des sondés voteraient pour lui.

    En promettant de protéger les Tunisiens d’une menace fantôme, il les a ralliés à sa cause. Il a également détourné la responsabilité des maux du pays. Les économistes pensent que l’inflation en Tunisie est en grande partie due au gouvernement, mais Mustafa, de Sfax, accuse les Noirs qui, selon lui, font monter les prix en mangeant tout le pain. Il prévoit de voter pour M. Saied lors des prochaines élections.

    L’incitation à la haine du président a également détourné l’attention d’autres actions controversées qu’il a entreprises, telles que le musellement de la presse, la purge du système judiciaire et la fermeture de l’organisme national de surveillance de la corruption. Il a démantelé les mécanismes de contrôle et d’équilibre qui favorisent une bonne gouvernance, avec des résultats prévisibles. La Tunisie est devenue plus craintive, moins libre et plus corrompue. Son score à l’indice de perception de la corruption (IPC) établi par Transparency International, un organisme de surveillance, s’est considérablement dégradé depuis 2021, date à laquelle M. Saied a commencé à démanteler sa jeune démocratie pleine d’espoir.

    La Tunisie reflète une tendance mondiale : de plus en plus de dirigeants utilisent le nationalisme comme un outil pour accumuler du pouvoir – et pour en abuser. Alors que le nationalisme était autrefois un moyen de démanteler des empires coloniaux déplorables, il devient de plus en plus un moyen de supprimer les contraintes légitimes qui pèsent sur le pouvoir gouvernemental. Les dirigeants qui s’irritent des contre-pouvoirs ont besoin d’un prétexte pour les supprimer. Ils ne peuvent pas admettre qu’ils veulent museler la presse et purger les tribunaux parce qu’ils trouvent ennuyeux de suivre les règles et préfèrent gouverner sans entraves. Ils accusent donc les journalistes et les juges d’être des traîtres ou des agents de puissances étrangères.

    (…)

    The Economist via fdesouche

  • Comment l’Etat organise le grand remplacement en province

    Publié par Guy de Laferrière le 25 mai 2023

    PAR  LE  

    reinformation.tv

    2 min

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    2000. C’est le nombre d’immigrés clandestins demandeurs d’asile (« migrants ») que l’Etat transfère chaque mois d’Île-de-France vers les régions moins touchées, et singulièrement la Bretagne, car le Grand Est, les Hauts de France, la PACA et même la Nouvelle Aquitaine commencent à saturer. On sait les difficultés que cela engendre dans la province ainsi envahie, à Callac, à Saint-Brévin par exemple, mais il y a urgence en Île-de-France, car elle « reçoit » la moitié des « primo-arrivants » et ne supporte plus ce grand remplacement.

    Répartition administrative du grand remplacement en province

    Il pose un problème notamment en vue des Jeux Olympiques de 2024 : malgré les opérations de police et le démantèlement des campements dans les rues, ces derniers se reforment presque instantanément. C’est pourquoi le ministre du logement, Olivier Klein, et celui de l’intérieur, Gérald Darmanin, ont adressé aux préfets une circulaire commune le 13 mars pour leur demander d’aménager de nouveaux « sas d’accueil temporaire régionaux ». Toutes les régions, à l’exception de l’Île-de-France, des Hauts-de-France et de la Corse (tiens ?) devront construire un camp de cinq cents places pour y « orienter des personnes prises en charge lors des opérations de mise à l’abri conduites en Île-de-France ». C’est-à-dire pour y caser les clandestins raflés autour de la capitale.

    L’Etat contraint de venir au secours de Paris

    L’image de Paris s’est en effet fortement dégradée aux yeux des touristes et des supporters du monde entier sous les mandats d’Anne Hidalgo à cause d’une immigration excessive, et cela menace le bon déroulement des Jeux Olympiques. Selon Didier Leschi, directeur général de l’OFII, l’office français de l’immigration, « l’Etat ouvre 700 à 800 places tous les mois depuis 2015. Il y a eu 20.000 places créées pour la seule année 2022 ». Le gouvernement a publié en 2021 un SNADAR (schéma national d’accueil des demandeurs d’asile) qui vise à « desserrer la pression » sur Paris et amorcer un « rééquilibrage territorial ». En français courant : étendre le grand remplacement à tout le territoire.

     

    Source : http://view.robothumb.com/leblogalupus.com/

  • Saint-Brévin-les-Pins (44) : malgré le terrorisme gauchiste, les patriotes se sont retrouvés nombreux samedi après-midi pour dire NON au grand remplacement

    Publié par Guy de Laferrière le 01 mai 2023

    synthesenationale

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    Malgré les tentatives ultra violentes des thuriféraires du grand remplacement de casser le rassemblement des habitants de Saint-Brévin contre la volonté du maire d'installer un centre pour migrants, c'est plus de 300 patriotes, parmi lesquels de nombreux jeunes, qui se sont retrouvés devant l'Hôtel de Ville de ce qui avait, jusqu'à présent, la réputation d'être une paisible station balnéaire.

    Pendant que les Brévinois écoutaient les orateurs, représentant à la fois les associations locales et les mouvements nationaux et identitaires, leur apporter leurs soutiens, les larbins du Système saccageaient le centre de la commune et incendiaient des véhicules stationnés. Plusieurs charges de CRS furent nécessaires pour repousser les casseurs. 

    La remarquable détermination des Brévinoises et des Brévinois à lutter contre ce projet ubuesque imposé par une poignée d'élus immigrationnistes est exemplaire. Elle est à l'image de la résistance du peuple de Callac qui a obtenu le retrait d'un projet similaire dans cette commune des Côte d'Armor l'hiver dernier. 

    Nous reviendrons très bientôt sur ce magnifique acte patriotique.

    S N 

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    Alors que les gauchistes et autres antifas se livrent dans le centre de la station balnéaire à leurs violences coutumières...

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    les Brévinois se rassemblent nombreux, dans le calme et la dignité, devant l'Hotel de Ville

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    pour écouter les représentants des associations locales et ceux des mouvements nationaux et identitaires.

  • Grand remplacement : à Versailles aussi

    Publié par Guy de Laferrière le 23 avril 2023

    Grand remplacement : à Versailles aussi

    La fête de l’Aïd permet aux nombreux musulmans de sortir du bois et de manifester leur puissance démographique. A Versailles, le maire leur a mis à disposition le gymnase de Rémilly. Même les fillettes sont voilées.

     

    Source : lesalonbeige

  • Opposition au grand remplacement dans l’Ain

    Publié par Guy de Laferrière le 18 avril 2023

    Opposition au grand remplacement dans l’Ain

    L’Etat compte installer des immigrés dans le château de Varay, dans l’Ain, mais la population s’y oppose.

    Le château domine le village de Saint-Jean-le-Vieux. Perché sur la colline, édifié au 12e siècle, restauré au 19e, il pourrait bientôt servir d’abri à des demandeurs d’asile. La bâtisse est propriété d’une association, l’Alpha3A dont la vocation sociale est à destination de tous les publics. L’animation pour les jeunes, comme l’accueil des étrangers. C’est à ce titre qu’elle a été contactée par la préfecture. L’association a donc répondu favorablement à cette demande d’hébergement d’urgence. Sauf que cela vient contrarier un projet éducatif mené de longue date : l’accueil de classes découvertes autour du patrimoine et de la culture.

    Le député de la circonscription Damien Abad (Renaissance) a pris rendez-vous avec le préfet “pour trouver des solutions alternatives”.

    Une banderole a été placée sur les hauteurs, à proximité du château, sur laquelle il est écrit “sauvegardons notre patrimoine”.

     

    Source : lesalonbeige